Rubrique "Faits divers" ...

"Note perso La meilleure façon de lutter contre ce genre de vols et d'escroqueries ... serait de renvoyer tous ces malfrats dans leurs pays d’origine (ou à défaut dans les eaux internationales pour ceux dont c’est la seule origine probante)"

eh oui, toujours des voeux pieux!
où sommes-nous lors des défilés de SOS racisme, ou en faveur des sans-papiers? c'est là qu'il faut agir, en faisant une contre-manif. mais qui aura le courage de lancer le premier?

Deux remarques:
Pour ce genre de choses, il faut déjà avoir le temps (donc les 35h maxi, les assedic, mieux un temps de délégation syndicale ...) et les moyens (assos subventionnée de préférence) toutes choses qu’ont les intéressés.

Celà dit rien ne nous empêche de monter une bonne assos en bonne et due forme pour faire le boulot inverse. C’est une proposition ?

une proposition? je n'ai pas les qualités pour mener à bien une telle tâche, mais je suis une seconde efficace. donc, si une assos se monte, j'en suis.

Déjà, essayeons de déjouer les meneurs de ces réseaux d'escrocs !

La nouvelle politique de Sarkozy en matière de lutte contre l'immigration clandestine apportera, espérons-le, des réponses concrètes très prochainement.

mardi 24 juillet 2007 - Dijon

Grand Dijon
Feux du week-end

Le week-end a eu son lot d'incidents dans l'agglomération dijonnaise, à commencer vendredi à minuit, rue Marc-Seguin à Dijon, avec une voiture qui a été entièrement détruite par le feu, tandis que la voiture voisine a été partiellement endommagée. Dimanche un peu avant deux heures du matin, même scénario et même bilan rue Castelnau. A trois heures cette nuit-là, un conteneur à poubelles était aussi mis à feu à l'angle de la rue d'Auxonne et de la rue du Docteur-Lavalle ; le feu endommageait la façade du magasin attenant ainsi que le boîtier du compteur à gaz et du feu piéton. Dans la nuit de dimanche à lundi enfin, un conteneur à poubelles a été incendié avenue du Général-Canzio à Talant un peu avant minuit, et un peu après, un véhicule a été entièrement détruit par le feu rue Castelnau à Dijon.

http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070724.BPA0157.html

Encore un coup des sarrazins !

vendredi 27 juillet 2007 - Dijon

LES PRÉSUMÉS COUPABLES ONT ÉTÉ MIS EN EXAMEN
Dijon : Une femme violée par quatre jeunes
Une femme de 26 ans a été violée dans la nuit de lundi à mardi, dans une cave, avenue Aristide-Briand à Dijon. Quatre jeunes de 16 à 18 ans viennent d'être mis en examen.

Quatre jeunes hommes de 16 à 18 ans, originaires de Dijon et de Chenôve, viennent d'être mis en examen dans le cadre du viol d'une jeune femme. Celle-ci, une Dijonnaise âgée de 26 ans, a été agressée dans la nuit de lundi à mardi, peu après minuit, et séquestrée dans une cave avenue Aristide-Briand, dans le quartier de la Maladière à Dijon.
C'est grâce au civisme de quatre jeunes garçons qui se trouvaient dans la rue peu après les faits que le principal agresseur a pu être interpellé presque immédiatement. Ce dernier, un mineur de 17 ans sortait en effet de l'immeuble tout en se vantant haut et fort d'avoir violé une femme. Les jeunes gens l'ont alors intercepté et l'ont maintenu en attendant l'arrivée des forces du service de nuit de la direction départementale de la sécurité publique. Celles-ci ont effectivement découvert la victime, traumatisée et partiellement dévêtue, et qui a confirmé avoir été violée quelques instants plus tôt par un jeune homme. Elle venait de le rencontrer et il l'avait forcée à descendre dans la cave.
Ils lui dérobent son sac
L'enquête, confiée dans un premier temps au service de quart de nuit du service de sécurité de proximité, et dans un second temps à la brigade des mœurs de la sûreté départementale, a permis de découvrir que le violeur présumé n'était pas seul.
Trois autres jeunes gens ayant eu des contacts avec lui et avec sa victime ont ainsi été identifiés dans la foulée. Interpellés le matin même suivant les faits, ils ont été placés à leur tour en garde à vue. Les auditions ont permis de préciser le rôle de chacun. Il s'avère que pendant le viol, perpétré par le principal inculpé, deux des jeunes auraient dérobé le sac de la victime et tenté de retirer de l'argent avec sa carte bleue, ce qu'ils n'ont pas réussi à faire. Le quatrième individu, mis partiellement en cause, est pour le moins prévenu de n'avoir pas porté secours à la jeune femme.
Mercredi au terme de leur garde à vue, les quatre jeunes ont été présentés devant le Parquet de Dijon et mis en examen.
Le violeur présumé a été écroué à la maison d'arrêt de Dijon, les trois autres ayant été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
Joséphine BATAILLE
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070727.BPA0173.html

Le jeune en question avait pour prénom:
- Charles Edouard
- Boris
- Mohamed
- Steven
Cochez la bonne réponse ...

Ce Momo, faut le castrer !

Appliquons-lui la charia, la seule loi qu'il respecte ce muslim !

Merci pour vos dialogues, voici un site que je viens de parcourir, à lire absolument :http://www.islamisation.fr/list/observatoire_dirige_par_joachim_veliocas/l_islamisation_de_la.html

Zélie

Islam Go Home !

Je vous propose un jeu : l'arrachage de tchador sur la voie publique !

ben voyons! vous avez quel âge? agression sur la voie publique, votre compte est bon!

Philiberte, sincèrement, ça vous démange pas un peu parfois de leur retirer leur capuchon à ces femmes-tonneaux, surtout quand elles sont jeunes (encore les vieilles, on peut comprendre, elles ont grandi au bled, mais les jeunes, non !!)

Résistant 31 a écrit:

Philiberte, sincèrement, ça vous démange pas un peu parfois de leur retirer leur capuchon à ces femmes-tonneaux, surtout quand elles sont jeunes (encore les vieilles, on peut comprendre, elles ont grandi au bled, mais les jeunes, non !!)

évidemment, mais ça reste à l'état de voeux pieux et de fantasme! ce sont les jeunes qui sont voilées, pas les vieilles! ce sont des provocatrices, il ne faut pas entrer dans leur jeu.

Moi je ne suis pas d'accord, ce sont les hommes qui les obligent à porter le torchon, pas elles seules, à part quelques écervelées !

Je réitère ma fatwa :

" A tous les patriotes, résistants, amoureux de la Belle France, des valeurs judéo-chrétiennes et de la culture gréco-latine, j'ordonne que vous arrachiez ces affreux voiles aux femmes soumises de l'islam (d'ailleurs "islam" en français se traduit par "soumission", comme c'est bizarre !) que vous croiserez (ah j'aime bien ce jeu de mot) dans la rue ou à la croisée des chemins (encore un jeu de mot que j'affectionne tout particulièrement), en pensant à nos amis les bêtes (les porcs) qui ne sont pas impures comme certains fous d'Allah voudraient bien le croire !
Faites ce que je vous dis, et vous irez au Royaume des Cieux !
(attention, pour les arracheurs mâles, pas de 70 vierges en vue, faut pas déconner non plus)

R31, imam des croisés ?
C’est vrai ça, pourquoi on aurait pas le droit d’éditer des fatwas au nom de la charia judeo chrétienne (version 1er testament, oeil pour oeil ...)

jeudi 2 août 2007 - Dijon

Tribunal correctionnel
Vol et violence : 5 mois de prison ferme

Certaines personnes ont parfois du mal à justifier leurs actes. C'était le cas de Gilles Goncalves, un Beaunois de 29 ans, présenté hier devant le tribunal correctionnel de Dijon. Ce dernier devait répondre de deux vols et une tentative de vol avec violence. Le premier délit remonte au 18 novembre 2006, pendant la fête foraine de Beaune. Gilles, sur les lieux, décide alors de repartir avec une machine à fumée, placée devant l'un des manèges de la fête. Coût de l'objet : 500 euros. « Mais pourquoi avez-vous pris cette machine ? », s'étonne le président du tribunal qui ne voit guère l'intérêt d'un tel vol. « Comme ça. pour m'amuser », répond le prévenu qui récidivait en mai dernier, en dérobant le téléphone portable d'une amie.
La succession de délits s'est achevée le 5 juin dernier lorsque Gilles Goncalves a tenté de voler un nouveau téléphone à une connaissance. Celui-ci aurait essayé d'arracher l'appareil des mains de la victime, mais, voyant cette dernière résister, le prévenu serait parti chercher un couteau de cuisine avant de la menacer, puis finalement de quitter les lieux. « Pour le couteau c'est faux. Il veut m'enfoncer », se défend Gilles.
« La prison n'est pas la bonne réponse »
Une enquête psychiatrique présentée par le tribunal révèle que l'homme, placé sous curatelle, souffre de troubles de la personnalité.
Alors que le procureur a requis huit mois de prison ferme, Me Dumont a quant à elle insisté sur le fait que « la prison ferme n'est pas la réponse juste. Mon client n'est pas une personne dite « normale ». Il sait à peine lire et écrire. Il ne se repère pas bien dans l'espace et le temps.
Je pense qu'il lui faudrait plutôt un petit travail. Il peut faire quelque chose mais il faut l'aider, c'est pourquoi je pense que la prison n'est pas la bonne réponse ». Le tribunal a finalement condamné Gilles Goncalves à cinq mois de prison ferme.

http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070802.BPA0188.html
Question: à sa sortie ( dans 2 mois, pour bonne conduite) , on en fait quoi ?

Pour lui, c'est l'HP, vous trouvez pas !?

mardi 7 août 2007

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE
Pathétique duo de prévenus...

Mines patibulaires et hagardes... cheveux hirsutes pour lui, tempes rasées et longue queue-de-cheval pour elle... Le couple menotté qui se présente à la barre hier après-midi encadré par quatre gendarmes pour vol en réunion en récidive dans la nuit du 4 au 5 août d'une Twingo à Froideconche, en Haute-Saône, n'en mène pas large.
Appréhendés en possession de plusieurs armes de catégorie 6 (katana, serpette, couteaux, dague...), Joël 35 ans et Marie-Ange 40 ans ont convolé en justes noces en 2005... en prison. Depuis, cette date, pour le meilleur et le pire, ils se sont associés pour commettre de concert de multiples larcins.
A eux deux, ils totalisent six ans d'incarcération, à raison de trois ans chacun. Les ennuis de Joël ont commencé dès 1994 [NDLR: ceux de ses victimes aussi] et depuis n'ont jamais cessé. Originaire de Belfort, l'homme a sillonné la région, Lure, Vesoul, Besançon et a été condamné à plusieurs reprises pour vols avec effraction, transport et détention de stupéfiants, vols aggravés, escroquerie... Quant à la carrière délictuelle de son épouse, elle a débuté en 1998 et compte différentes condamnations allant du trafic de stupéfiants au vol aggravé.
En rébellion contre la société
Lors de la comparution immédiate, les premiers instants entre le juge et les prévenus sont tendus. En effet, Joël, quelque peu désabusé, se dit en rébellion contre la société qui ne l'a jamais accepté. Il interrompt souvent le juge qui le remet « vertement » en place.
Marie-Ange, de son côté, tente de calmer son mari. Elle explique que tous deux suivent une cure de désintoxication et prennent de la méthadone [NDLR: dealée sécu] , mais que depuis 48 heures suite à leur arrestation, ils subissent les effets du manque. La jeune femme a d'ailleurs toujours cherché à coopérer et a répondu aux questions de l'enquêtrice.
Elle raconte que le couple, vivant du RMI, a désespérément cherché du travail sur Luxeuil-les-Bains, lieu de leur résidence. En désespoir de cause, Joël et Marie-Ange projettent alors d'aller s'installer en Ardèche où à une époque, ils avaient été employés. Pour, ce faire, il leur faut un véhicule qu'ils dérobent à Froideconche [oui c’est le droit au déplacement] en rentrant par effraction dans un garage privé où se trouve une Twingo avec les clefs sur le tableau de bord. A cet égard, Joël ne manque pas de remarquer que c'est purement et simplement « de l'incitation au vol ».
Réplique qui lui vaut d'être à nouveau sermonné par le juge. Pour ce qui est de la présence des armes blanches dans le coffre de la voiture, le mari et la femme, expliquent qu'il s'agit d'objets légalement acquis et qui n'avaient pour seule vocation que de servir de pièces décoratives.
« Mon cerveau a tilté ! »
Autre infraction constatée lors de l'arrestation, l'absence de permis de conduire de Joël alors que celui-ci était au volant du véhicule dérobé. Pour plaider sa cause, le prévenu insiste qu'il n'a jamais été coupable d'agression physique contre quiconque. Argument, que reprend l'avocate qui défend le couple, dans sa plaidoirie. Elle relate un vécu très difficile pour Marie-Ange, violée par son père à l'âge de 12 ans puis qui perdra son bébé en 1990. « C'est à ce moment dit-elle que mon cerveau a tilté ! ».
S'enchaînent alors quatre ans d'alcoolisme, une cure de désintoxication et puis la rechute avec la prise de drogues. Joël, pour sa part, a été mis à la porte du foyer familial quand il avait 14 ans.
Doté d'un CAP de maçon, il n'a jamais pu avoir un emploi fixe. Il lance même « si on ne veut pas de moi, la société va créer un monstre assoiffé de sang... je prendrai des flingues et je braquerai des bourgeois...». Balbutiements rapidement écourtés par le juge.
En définitive, les deux prévenus écoperont chacun de six mois ferme, comme requis par le procureur. En attendant la délibération du tribunal, le couple restera enlacé et en pleurs. A un moment, Marie-Ange s'inquiétera même du sort de ses chiens en émettant le souhait de les récupérer à sa sortie...
E. F.
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070807.BPA0134.html

Citation :

« si on ne veut pas de moi, la société va créer un monstre assoiffé de sang... je prendrai des flingues et je braquerai des bourgeois...».

Dans 3 mois max, ce joyeux drille ressort libre comme l’air. Les parents de ses victimes à venir pourront toujours se retourner contre le juge, intouchable comme "Cochon"
C’était la "rupture dans la continuité".

mercredi 8 août 2007

Deux affaires similaires en 15 jours
Agressions sexuelles : Piégées sur Internet

Deux jeunes Côte-d'Oriennes ont récemment été victimes d'agressions sexuelles, après avoir pris rendez-vous sur Internet avec leurs interlocuteurs. La brigade des mœurs de la Direction départementale de la sécurité publique de la Côte-d'Or (DDSP) appelle à la prudence.

Attention, les conversations qui ont lieu sur les salons de discussion virtuels sur Internet, les « chats » et autres MSN ne sont pas toujours le meilleur moyen pour trouver l'âme sœur, loin s'en faut. Deux affaires d'agressions sexuelles viennent de se produire en quinze jours, présentant un caractère similaire : tout a commencé par une rencontre « derrière l'écran ». « Il s'agit de deux jeunes Côte-d'Oriennes d'une vingtaine d'années qui ont respectivement fait connaissance et fixé un rendez-vous avec deux jeunes hommes via Internet. Les rencontres se sont très mal passées, puisque nous avons reçu deux plaintes pour agressions sexuelles », explique Michel Cugat, chef de la brigade des mœurs et proxénétisme de la direction départementale de la sécurité publique de Côte-d'Or (DDSP).
Deux jeunes hommes ont été rapidement identifiés et arrêtés par les membres de la brigade des mœurs. Défavorablement connus des services de police , ils ont été présentés au procureur de la République et au juge d'instruction. Deux enquêtes distinctes sont en cours.
Attention danger
« Depuis quelque temps, on observe une recrudescence de ce genre d'affaires, il faut mettre en garde les jeunes et les parents sur le danger potentiel de ces « rencontres » où on ne connaît son interlocuteur que virtuellement », ajoute le brigadier-major.
« Le risque est réel, il ne faut pas se dire que ça n'arrive qu'aux autres. Les parents ne doivent pas hésiter à parler à leurs enfants, mineurs ou jeunes majeurs, sur les connaissances qu'ils font sur Internet et surtout si des rendez-vous sont pris sans véritablement connaître la personne », précise-t-il.
Le danger est d'autant plus grand que l'accès à Internet est aujourd'hui d'une grande simplicité et le contrôle des parents pas toujours évident.
« Ce sont évidemment les jeunes filles les plus vulnérables et il faut les mettre en garde. Il est notamment conseillé d'éviter de communiquer ses coordonnées, ou d'envoyer sa photo, qui peut être utilisée à n'importe quelle fin », indique Michel Cugat.
La prudence est donc de mise, sachant qu'il est très facile pour un agresseur potentiel de déguiser sa personnalité par claviers interposés...
Nicolas ROUILLARD
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070808.BPA0169.html

mercredi 8 août 2007

Quartier des Grésilles
Un véhicule incendié

Une voiture a été incendiée lundi à 23 h 35, rue Chanoine-Vinceneux à Dijon. Le véhicule, une Nissan Primera, a été détruit par les flammes
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20070808.BPA0166.html

On ne sait pas si les "flammes" seront traduites en justice

Mon pauvre 007, à reprendre ces articles de la presse locale, vous me donnez l'impression de découvrir le monde !

Faut sortir le dimanche l'ami !

Je ne "découvre" pas la presse locale, j’en fais partager les joyeusetés avec ceux de mes concitoyens qui, ruraux comme moi, n’ont pas encore la "chance" de goûter aux joies du métissage. Et il serait bon que d’autres s’en chargent également à destination de leur(s) lecteurs(s) respectif(s). Parce que ce n’est sûrement pas en se contentant de tv-big-mother que ces derniers apprendront quoi que ce soit à ce sujet. Et dans la rubrique coup pour coup, je dirai que ces témoignages me semblent avoir au moins autant d’ intérêt que vos appréciations aussi intempestives qu’insipides.

Savez-vous, cher 007, que ce forum des régions est très peu lu !

Donc allez sur d'autres forums répandre vos "bonnes nouvelles" !

Résistant 31 a écrit:

Savez-vous, cher 007, que ce forum des régions est très peu lu !

Donc allez sur d'autres forums répandre vos "bonnes nouvelles" !

et vous, concrètement, vous faites quoi, à part râler et critiquer?