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Défense d'honorer la mémoire…
Le cinq juillet 1962, quatre à cinq mille innocents sont assassinés à Oran, par des fanatiques algériens, le jour de la proclamation de l'indépendance. On ne connaîtra jamais le nombre exact de victimes. Un rassemblement commémoratif, devait se tenir à l'Arc de Triomphe à Paris, aujourd'hui. Il a été interdit. Le président de la république fait particulièrement honte à la France , et aux Français. En effet, on nous a fait comprendre qu'il est responsable de cette interdiction. C'est une insulte à la mémoire des suppliciés.
Cette insulte est aggravée une première fois, quand on prend connaissance des prétextes invoqués pour cette interdiction. Hier soir tard, l'organisateur du rassemblement a reçu un fax du préfet de Paris, annonçant l'interdiction. Ce document énumère les attendus de cette pitoyable décision. La raison principale était le trouble de l'ordre public. Les traditionnelles officines de soutien aux nazislamistes, MRAP, LDH et autres nuisances subventionnées, auraient proféré des menaces. Des affrontements auraient été à craindre. En pareil cas, la logique aurait voulu que tous les responsables de ses officines soient interpellés, pour menaces à l'encontre d'une réunion publique. La force publique aurait dû protéger le rassemblement. Le pouvoir a choisi de l'interdire, donnant ainsi raison aux perturbateurs. Une autre raison, l'Arc de triomphe n'était pas le lieu propice pour cette manifestation. Enfin quoi ! Les victimes n'étaient que des anonymes, des colons et des traîtres (les harkis), ajouteraient certains torchons. Depuis sept ans, nous savons qu'en France, c'est déclaré "raciste d'extrême droite", de dire du mal des nazislamistes, ou en l'occurrence, de rappeler des atrocités qu'ils ont commises, contre des Français.
Avec dépit, nous constatons que SARKOZY n'a pas l'intention de corriger cette faute grave du comportement national. Il est vrai qu'il est attendu en Algérie. Il va probablement y causer de sa fumisterie euro méditerranéenne. L'ancien fellagha l'aurait certainement accueilli avec une moue dédaigneuse, si cette modeste commémoration avait eu lieu. Déjà que SARKOZY prétend mettre un bémol à la repentance, si en plus, même discrètement, on rappelle les horreurs arabes, où va-t-on ?
Cette insulte est aggravée une deuxième fois, quand on compare le sort de cette petite manifestation, à celles autorisées et aux tribunes complaisamment offertes dans les média français, à tous les ceux qui viennent nous insulter et salir des épisodes glorieux de notre mémoire nationale. Certes, la radio et la télévision publiques françaises, sont au service de la propagande nazislamiste depuis sept ans. Elles ont chacune leur sommité. Pour la radio, il s'agit d'une infecte ordure qui sévit sur France Inter, spécialiste des procès contre les auditeurs écoeurés par ses insanités. Elle est largement devancé, par le champion du monde toutes catégories de la propagande nazislamiste en occident, protégé de l'ex occupant de l'Elysée, coupable de la célèbre fiction crapuleuse du 30 septembre 2000, production mondiale de France2. Mais visiblement, ça n'est pas suffisant pour ceux qui dictent la politique française de collaboration avec les nazislamistes. Ils ont l'intention de mettre au pas, tous les citoyens qui n'applaudissent pas des deux mains à cette collaboration. Ca a rarement autant pué Vichy, que ce soir.
Dans les faits, n'ayant pu être prévenus, environ deux à trois cent personnes, pour la plupart septuagénaires et originaires d'Oranie, avaient commencé à se diriger vers l'Arc de Triomphe. Mais, le rond point était encerclé de barrières. Des CRS en tenue anti-émeute, pas moins d'une quinzaine de cars, interdisaient courtoisement l'accès. Puis ils entreprirent de repousser gentiment les gens, le plus loin possible de la place de l'Etoile, le nom d'origine de ce lieu est en l'occurrence, préférable. Devant Cartier, sur les Champs Elysées, le petit groupe entonna avec ferveur, "Sambre et Meuse", plus connu sous le nom de "chant des Africains", l'hymne officieux des Pieds Noirs. On y voyait un officier supérieur en uniforme. Les participants étaient outrés par cette interdiction. Quelques uns étaient venus de province.
Décidément, le nouveau président de la république française confirme la rupture, non pas avec les pratiques antérieures, mais avec le soupçon d'espoir, que par contraste, il a fugacement suscité chez une partie de son électorat. Ca empire de jour en jour. On reparle de la présence à Paris, du chef du gang nazislamiste libanais d'obédience perse. Comme il l'avait proclamé, SARKOZY perpétue les reptations commencées par de Gaulle, devant les arabes les plus hostiles envers l'occident en général, et la France en particulier.
Charles DALGER, le 5 juillet 2007