L'Ennemi Intime : un film de propagande à la sous-Rambo !!!
Écrit par Khader MOULFI
02-10-2007
L'Ennemi Intime de Florent-Emilo SIRI : un film de propagande à la sous-Rambo filmé et tourné par des Bobos démagos !!!
Attention à l'intoxication collective, du "temps de cerveau humain disponible", via des "navets de série Z" !!!
Tout d'abord, par souci d'honnêteté intellectuelle, je tenais à préciser que je n'avais pas, encore, vu, le film "L'Ennemi Intime" de Florent-Emilio SIRI, pour avoir décliné, en son temps et à juste titre, l'invitation opportuniste, de la production, à une projection privée, car je n'ai pas pour habitude d'apporter, ma "caution morale", à ce genre d'initiatives douteuses et, d'instrumentalisation des militants de la "cause harkie". Néanmoins, il suffit d'avoir visionné, préalablement, certaines des "oeuvres" (si l'on veut !), du Sieur SIRI, pour s'attendre au pire car, contrairement, aux "critiques flatteuses injustifiées", de notre "presse impartiale" (euh, c'est de l'humour cynique, of course !), le susmentionné est très loin d'égaler Steven SPIELBERG, Stanley KUBRICK & Consorts (incluant Oliver STONE quand il était 1 vrai cinéaste et non le gauchiste prosélyte actuel).
En revanche et, à l'instar des autres "navets" l'ayant précédé, ce long-métrage, outre la volonté de faire de l'argent facile, avec les "communautés concernées", sert, également, de support de propagande, sous couvert des campagnes de promotion. En effet et, sans le moindre débat contradictoire, le "trio de bobos démagos", en l'occurrence, Florent-Emilio SIRI, Benoît MAGIMEL et Patrick ROTMAN, laisserait supposer, lors de leurs conférences de presse, que leur "ersatz de Rambo" serait la réalité historique de référence (?). Et, encore, l'insupportable et très misanthrope, Albert DUPONTEL, n'est pas entré, pour le moment, à fond, dans la danse.
Mais, au fait, quelles sont les véritables raisons individuelles, de chaque protagoniste impliqué, dans ce nouvel "appel à la repentance et à l'autoflagellation nationales" ? En premier lieu, Benoît MAGIMEL, acteur plébiscité et qualifié de "nouvel Alain DELON" (ah bon !), par l'intelligentsia parisienne mais, boudé, par le public et, éternel "Momo, de la Vie est un Long Fleuve Tranquille" (d'Etienne CHATILIEZ), qui cherche, désespérément, le rôle de sa vie. Et, il tente, désormais, de "surfer sur la vague", avec plus ou moins de succès, des "Indigènes" de Rachid BOUCHAREB, à l'instar des "Mon Colonel", "Cartouches Gauloises", ...
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